Il est parfoit plus simple de fermer les yeux plutot que de regarder la vérité en face.

Il ete plus accetable de penser que ce n'ete passager plutot que de prendre le probléme au corps.

Je connais pourtant bien tout ses sensations.

Cette impression d'être seule malgret les gens qui m'entourent.

Ce vide immence qui m'habite chaque jour chaque seconde

Cette peur qui me prend au ventre au coeur.

Les larmes qu'on ne peut controler , les fous rires qui nous font espérer.

Il ne m'as pas fallut longtemps pour trouver se mot : LA DEPRESSION.

Il m'as surtout fallut l'accepter. 

Un an de combat, de bas et haut, de questions sans reponse avant de comprendre.

J'aurez aimez ne pas rechuter, j'aurez aimez etre plus forte, mais la vie est ainsi elle ne me laisse pas le choix, elle m'inflige des douleurs inexpliquable, vivante au plus profond de mon coeur, qui prenne mon corps en autage, et qui me gache la vie.

Aujourd'hui il est temps d'avancer, je sais qu'un long chemin sera necessaires, qu'il sera semet d'embuche mais qu'il est necessaire, pour un jour retrouver le sourire.

Il y a bien longtemps que mon coeur souffre en silence, que je cache au plus profond de moi des douleurs intence, d'une histoire pas simple, d'un passée compliqué.

J'ai souvent cru que la vie finirez par me laissez souffler un peut qu'elle me montrerez le bonheur, pourtant dès que j'ai commencer à y croire je suis retomber encore plus bas. 

Aujourd'hui je reste méfiante dès que j'apperçois le bonheur au loin. Pourtant aujourd'hui je veut y croire je veut me battre pour lui pour elles, parce qu'ils sont tous ce qui me reste, qu'ils sont mon avenir et ma plus belle réussite. Et qu'avec tout ce qui m'apporte je leur doit bien ca.

Aprés tout je me demande si dans cette histoire ce n'est pas eu qui souffre le plus. 

Il sera nécéssaire que je reprénne étape par étape de ma vie, avec les rires et les douleurs qu'elles contiennent.

Je sais d'avance qu'il sera parfoit necessaire de trouver les mots juste, que souvent les larmes vont couler mais aujourd'hui il est temps de voir de l'avant, d'avancer, de prendre mon courage a deux mains et de libéré mon coeur .

Pour moi cete un 2 mars 1990 ... dans une clinique d'evreux. 

Déja mon histoire ete tracer ... et pourtant elle ne fesez que commencer ...

Petite derniére d'une fratie de trois, nous n'étions que deux à profitez de la vie, ma soeur s'en etant allez bien trop tot.

J'ai eu sur mes epaules un grand poid, celui de soulager le coeur en peine de ma mére, elle qui as mis tant d'éspoire dans cette grossesse non désirée, avoir une seconde fille a du être pour elle autant de joie que de peine.

Aussi loin que je m'en souvienne j'ai toujours ressentit cette peine qu'elle m'as avec le temps transmit ... j'ai longtemps ressentit le poid de la culpabiliter, du pourquoi moi et pas elle !!

Je lui en est souvent voulu ... avez t'elle le droit de souffrir autant alors que mon frére et moi etions là ? 

Puis j'ai grandit et je suis moi même devenu maman,cela m'as permis de voir les choses autrement de comprendre bien des choses mais d'empirez certaine souffrance face a des situations incompréhenssif.

Apres une grossesse non désiré à 16 ans j'ai du assumer ce rôle de maman qui ne me correspondez pas, j'ai compris ce qu'avez pu ressentir mon pére, lui qui ne me désiré pas lui, lui qui avez seulement peur, ma mére ayant deja eu de grossesse compliquer, ayant perdu ma soeur, et mon frére etant si petit. J'ai compris qu'il n'y aurez jamais entre lui et moi cette amour qui me lie a ma mére, peut on vraiment forcer quelqu'un a devenir pére ... je ne pense pas ... il m'aime je le sais mais a ca facon. Avec le temps j'ai appris a vivre avec sans vraiment le comprendre et l'accepter.

J'ai inssister dans se rôle de maman qui ne depasser deja en ayant une seconde fille a 19 ans ... j'ai voulu y croire j'ai voulu prouvez je ne sais quoi a je ne sais qui et même si je ne regrette absolument pas mes choix ni pour ma princesse ni pour ma poupée je sais désormé que je n'ete pas préte ...

J'ai alors connu le quotidien d'une enfant malade, du regard incompris des gens, des sacrifices et de la solitude, elle est pourtant pas mourante, pas handicapés et pourtant sa a suffit a changer ma vie.

J'ai alors compris que mon frére et moi n'aurons jamais pu remplacer ma soeur, que nous sommes nous tous simplement et qu'en aucun cas je n'ete elle, j'ai appercut un instant la douleur de ma mére quand ma fille c'est retrouver en soins intenssif et pour rien au monde je n'aurez voulu vivre ce qu'elle vie chaque jour.

Et même si je me suis souvent senti impuissante face a ces larmes même si je lui en est parfoit voulu je sais désormer que c'ete innévitable, qu'elle as dans son coeur une souffrance immence que rien ni personne ne serez effacer.

J'ai aussi compris que cete ce qui avez créer ce liens si fort qui nous unis, qu'entre elle est moi il y aura toujours ce petit ange qui veille sur nous, parce que de ne pas être seule a penser a elle à l'aimez doit la rassurer ... Et même si j'ai eu besoin de prendre mes distance avec elle , même si je ne me suis pas toujours montrer tendre, même si elle as fait des erreurs qui m'ont parfoit fait souffrir je sais qu'elle même n'as pas eu une vie facile et qu'elle a toujours fait de son mieux ...

Il est temps désormer de parler avec mon coeur de maman et non celui d'enfant et de regarder rien que quelques seconde et de me demande si a sa place j'aurez pu faire mieu ... et sincérement je ne le crois pas ... je pense qu'elle a cru aussi fort que moi en l'amour qu'elle en a souffert tout autant et qu'elle c'est battut comme je l'aurez fait ... 

Désormez mon coeur pardonne ces douleurs ressentit, désormez il comprend que parfoit même les parents ne peuvent protéger leur enfants ... 

J'ai souvent voulu redevenir celle que j'ete ... il faut pourtant accepter : elle est partit a jamais.

Il me reste à laissez le temps passez et a me reconstruire pour devenir MOI 

Même si cela ne suis pas le court de mon histoire ,ce soir c'est de lui que j'ai envie de vous parler.

Il fut malhereusement sans le savoir le declencheur de ma decente au enfer.

Combien de fois j'ai pu lui en vouloir de m'avoir abandonné lui qui n'avez rien décidé.

Il ete mon meilleur ami, mon pillier, ma moitier, ma compliciter.

Nous nous sommes connus 3 ans avant son depart mais 3 ans d'une amitier fusionnel ou lui et moi etions incéparable, il a su mécouter m'epauler me reconforter.

Lui et moi ce sont des souvenir multiples, des apres midi en ville, des moments de fou rire intense, des cours perturber et bien plus encore.

Il a ete mon seul soutient le seul qui a su secher mes larmes lors du depart de mika et tony (j'y reviendrez plus tard).

Il a toujours eu les mots pour me redonner le sourire, pour expliquer l'innexplicable.

Quand je suis tomber enceinte de ma princesse il a su trouver les mots pour me donner la force de me battre, pour y croire et rester forte.

Ma princesse avez 3 mois quand il est partit, c'ete deja tres compliquer pour moi de faire face, entre mes etudes, ma nouvelle vie de maman j'ete completement perdu.

Son départ a ete plus qu'un choque pour moi, tout a voler en eclat dans ma tete et mon coeur.

J'avez réelement besoin de lui, je n'avez que lui pour me confier et j'ete beaucoup trop faible pour m'en sortir seule.

Ce fameu 12 avril 2007 resteras a jamais graver dans ma tete ... un choque, des pleurs et une tristes réalité.

Ma mére à essayer de m'épauler comme elle pouvez , mon frére ete completement détruit par le dece de son propre ami qu'il en a oublier sa petite soeur, le pére de ma fille (et accesoirement mon copain à l'epoque) ete bien trop occupé a draguer ma meilleure amie pour etre present, quand a moi j'ai trop voulu proteger la copine de sam que j'en est oublier ma propre douleur ....

Je me suis sentit si seule si abandonné si incomprise ... 

J'avez l'impression de n'avoir plus rien ... il ete comme mon journal intime il a emporter avec lui toute mon histoire et mes douleurs ... je garde en moi tous ces mots dit, ces moment patager, ces chansons et ces poémes ... 

J'aurez aimez pouvoir le protégé, le préserver d'une mort si violente, j'aurez aimez le remercier comme il le mérité.

J'aurez aimez pouvoir lui offrir un entérement comme il le voulez , lui évitez cette religion qu'il détésté temps, enlevez tous ces artifices qui ne lui correspondez pas et lui offrir bien plus qu'il n'as là.

Sa me fend le coeur de voir cette pierre tombale constament vide, si triste, je le sens si seul, et je me rend compte qu'en réalité il y est bien plus que moi, le peut de fleur qui eclaire sa tombe, sont celle que je lui depose, ni ses parents, ni son frére ni même sa copine de l'epoque n'y vienne, ils ont tous refait leur vie comme si sam n'en avez jamais fait partit ...

Et moi je reste encrez dans mes souvenirs sans pouvoir avancer ...

Je sais que j'ai encore bien du chemin a parcourir qu'il est mon plus grand combat ...

A TOI MON SAM QUI ME MANQUES TANT