Pour moi cete un 2 mars 1990 ... dans une clinique d'evreux. 

Déja mon histoire ete tracer ... et pourtant elle ne fesez que commencer ...

Petite derniére d'une fratie de trois, nous n'étions que deux à profitez de la vie, ma soeur s'en etant allez bien trop tot.

J'ai eu sur mes epaules un grand poid, celui de soulager le coeur en peine de ma mére, elle qui as mis tant d'éspoire dans cette grossesse non désirée, avoir une seconde fille a du être pour elle autant de joie que de peine.

Aussi loin que je m'en souvienne j'ai toujours ressentit cette peine qu'elle m'as avec le temps transmit ... j'ai longtemps ressentit le poid de la culpabiliter, du pourquoi moi et pas elle !!

Je lui en est souvent voulu ... avez t'elle le droit de souffrir autant alors que mon frére et moi etions là ? 

Puis j'ai grandit et je suis moi même devenu maman,cela m'as permis de voir les choses autrement de comprendre bien des choses mais d'empirez certaine souffrance face a des situations incompréhenssif.

Apres une grossesse non désiré à 16 ans j'ai du assumer ce rôle de maman qui ne me correspondez pas, j'ai compris ce qu'avez pu ressentir mon pére, lui qui ne me désiré pas lui, lui qui avez seulement peur, ma mére ayant deja eu de grossesse compliquer, ayant perdu ma soeur, et mon frére etant si petit. J'ai compris qu'il n'y aurez jamais entre lui et moi cette amour qui me lie a ma mére, peut on vraiment forcer quelqu'un a devenir pére ... je ne pense pas ... il m'aime je le sais mais a ca facon. Avec le temps j'ai appris a vivre avec sans vraiment le comprendre et l'accepter.

J'ai inssister dans se rôle de maman qui ne depasser deja en ayant une seconde fille a 19 ans ... j'ai voulu y croire j'ai voulu prouvez je ne sais quoi a je ne sais qui et même si je ne regrette absolument pas mes choix ni pour ma princesse ni pour ma poupée je sais désormé que je n'ete pas préte ...

J'ai alors connu le quotidien d'une enfant malade, du regard incompris des gens, des sacrifices et de la solitude, elle est pourtant pas mourante, pas handicapés et pourtant sa a suffit a changer ma vie.

J'ai alors compris que mon frére et moi n'aurons jamais pu remplacer ma soeur, que nous sommes nous tous simplement et qu'en aucun cas je n'ete elle, j'ai appercut un instant la douleur de ma mére quand ma fille c'est retrouver en soins intenssif et pour rien au monde je n'aurez voulu vivre ce qu'elle vie chaque jour.

Et même si je me suis souvent senti impuissante face a ces larmes même si je lui en est parfoit voulu je sais désormer que c'ete innévitable, qu'elle as dans son coeur une souffrance immence que rien ni personne ne serez effacer.

J'ai aussi compris que cete ce qui avez créer ce liens si fort qui nous unis, qu'entre elle est moi il y aura toujours ce petit ange qui veille sur nous, parce que de ne pas être seule a penser a elle à l'aimez doit la rassurer ... Et même si j'ai eu besoin de prendre mes distance avec elle , même si je ne me suis pas toujours montrer tendre, même si elle as fait des erreurs qui m'ont parfoit fait souffrir je sais qu'elle même n'as pas eu une vie facile et qu'elle a toujours fait de son mieux ...

Il est temps désormer de parler avec mon coeur de maman et non celui d'enfant et de regarder rien que quelques seconde et de me demande si a sa place j'aurez pu faire mieu ... et sincérement je ne le crois pas ... je pense qu'elle a cru aussi fort que moi en l'amour qu'elle en a souffert tout autant et qu'elle c'est battut comme je l'aurez fait ... 

Désormez mon coeur pardonne ces douleurs ressentit, désormez il comprend que parfoit même les parents ne peuvent protéger leur enfants ...